Quel souvenir d'un amour de trains ?...
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Quel souvenir d'un amour de trains ?...
Bonsoir,
Rien d'indiscret dans ma question... ;-) C'est en lisant la réponse d'Albert sur son grand-père ( dans la littérature et les trains ) que ça m' a fait penser à l'enfance... Et c'est à ce souvenir d'enfance ( ou de plus tard le cas échéant ) auquel je fais allusion...Ce train vu , lu, ou entendu raconté... qui, pour la première fois a marqué de son empreinte votre pupille, est resté dans votre tête comme un souvenir différent, qui a fait que peut-être c'est pour cela que des années plus tard vous y êtes revenu , derrière un appareil-photo ou en modèle réduit, ou dans leur métier pour certains...
Pour ceux qui souhaitent le dire évidemment...
Pour ma part, les années 60... j'avais 3, 4 ans et avec ma mère , nous allions souvent promener près de la maison de mon grand-père, le long du Lot à Mende, et tout près de la voie ferrée... Et nous attendions pour voir passer la "micheline" rouge comme on appelait tout autorail à l'époque, au point que je ne sais toujours pas si c'était un X 2400 ou X 2800 ...Mais je me souviens que c'était quelque chose de fascinant pour moi, que je regardais avec de grands yeux, la preuve , je m'en souviens encore ... et ma mère me disait, un jour on le prendra jusqu'à la Bastide pour que tu saches ce que c'est que de monter dans un train quand même...
Et puis on a quitté Mende et ça ne s'est jamais fait, et j'ai attendu d'avoir une dizaine d'années pour prendre pour la première fois le train...et je n'en ai aucun souvenir particulier...
Mais je crois bien que c'est ce train là qui est remonté quand mon fils s'est intéressé aux trains, c'est lui qui soudain a vibré en moi...et la suite vous la connaissez, je suis là aujourd'hui...
Rien d'indiscret dans ma question... ;-) C'est en lisant la réponse d'Albert sur son grand-père ( dans la littérature et les trains ) que ça m' a fait penser à l'enfance... Et c'est à ce souvenir d'enfance ( ou de plus tard le cas échéant ) auquel je fais allusion...Ce train vu , lu, ou entendu raconté... qui, pour la première fois a marqué de son empreinte votre pupille, est resté dans votre tête comme un souvenir différent, qui a fait que peut-être c'est pour cela que des années plus tard vous y êtes revenu , derrière un appareil-photo ou en modèle réduit, ou dans leur métier pour certains...
Pour ceux qui souhaitent le dire évidemment...
Pour ma part, les années 60... j'avais 3, 4 ans et avec ma mère , nous allions souvent promener près de la maison de mon grand-père, le long du Lot à Mende, et tout près de la voie ferrée... Et nous attendions pour voir passer la "micheline" rouge comme on appelait tout autorail à l'époque, au point que je ne sais toujours pas si c'était un X 2400 ou X 2800 ...Mais je me souviens que c'était quelque chose de fascinant pour moi, que je regardais avec de grands yeux, la preuve , je m'en souviens encore ... et ma mère me disait, un jour on le prendra jusqu'à la Bastide pour que tu saches ce que c'est que de monter dans un train quand même...
Et puis on a quitté Mende et ça ne s'est jamais fait, et j'ai attendu d'avoir une dizaine d'années pour prendre pour la première fois le train...et je n'en ai aucun souvenir particulier...
Mais je crois bien que c'est ce train là qui est remonté quand mon fils s'est intéressé aux trains, c'est lui qui soudain a vibré en moi...et la suite vous la connaissez, je suis là aujourd'hui...
Re: Quel souvenir d'un amour de trains ?...
Bonsoir Hélène, et tout le monde.
Merci de donner à ceux qui le souhaite, l'occasion de replonger dans leur mémoire et de partager ce qui fut peut-être à l'origine de cette passion pour les trains.
Si pour moi cette passion n'est plus photographique et je demande à ceux qui sont sur ce forum ou d'autres de m'en excuser, cette passion donc m'est sans doute venue de mon environnement familial. Comme je l'ai dit, mon grand-père appartenait à la Grande Maison (d'abord Cie de l'Est, puis SNCF). Des cousins également dont l'un fut chef de gare à Diarville sur la ligne Nancy -Mirecourt. C'est dans ce petit village de Diarville que j'ai passé mes premières vacances, loin de la ville, que j'ai vu de près dans les années 1953 - 1954, les premières machines à vapeur ou les michelines. Du "haut" de mes 4 ou 5 ans, elles m'apparaissaient monstrueuses.
Et puis, nous habitions en limite de Nancy, j'accompagnais mon autre grand-père dans un jardin qui n'était guère éloigné de l'ex ligne qui joignait Champigneulles à Jarville-la-Malgrange, par la gare de Nancy-Saint-Georges. Dédiée au transport de marchandises, j'y voyais passer des convois tirés par les locomotives à vapeur, sifflant, suant, fumant. Et le souvenir le plus précis est sans doute celui des cerclages de cuivre autour du corps de la machine, qui luisaient de mille feux, astiqués qu'ils étaient par les propriétaires de celle-ci. La banalisation n'avait pas encore sévi, il me semble. Malheureusement, je ne me souviens plus du type des machines. Reste en mon esprit, le passage de ces rames...
Je pourrais aussi vous parler de ces voyages par le chemin de fer, pour rejoindre les colonies de vacances, dans les années 1955...Alors ça, c'était quelque chose !
Maintenant, je me pose quand même une question. Je ne suis pas le seul à avoir eu de près ou de loin ce parcours. Alors pourquoi moi j'aime les trains et d'autres pas?
A+lbert
Merci de donner à ceux qui le souhaite, l'occasion de replonger dans leur mémoire et de partager ce qui fut peut-être à l'origine de cette passion pour les trains.
Si pour moi cette passion n'est plus photographique et je demande à ceux qui sont sur ce forum ou d'autres de m'en excuser, cette passion donc m'est sans doute venue de mon environnement familial. Comme je l'ai dit, mon grand-père appartenait à la Grande Maison (d'abord Cie de l'Est, puis SNCF). Des cousins également dont l'un fut chef de gare à Diarville sur la ligne Nancy -Mirecourt. C'est dans ce petit village de Diarville que j'ai passé mes premières vacances, loin de la ville, que j'ai vu de près dans les années 1953 - 1954, les premières machines à vapeur ou les michelines. Du "haut" de mes 4 ou 5 ans, elles m'apparaissaient monstrueuses.
Et puis, nous habitions en limite de Nancy, j'accompagnais mon autre grand-père dans un jardin qui n'était guère éloigné de l'ex ligne qui joignait Champigneulles à Jarville-la-Malgrange, par la gare de Nancy-Saint-Georges. Dédiée au transport de marchandises, j'y voyais passer des convois tirés par les locomotives à vapeur, sifflant, suant, fumant. Et le souvenir le plus précis est sans doute celui des cerclages de cuivre autour du corps de la machine, qui luisaient de mille feux, astiqués qu'ils étaient par les propriétaires de celle-ci. La banalisation n'avait pas encore sévi, il me semble. Malheureusement, je ne me souviens plus du type des machines. Reste en mon esprit, le passage de ces rames...
Je pourrais aussi vous parler de ces voyages par le chemin de fer, pour rejoindre les colonies de vacances, dans les années 1955...Alors ça, c'était quelque chose !
Maintenant, je me pose quand même une question. Je ne suis pas le seul à avoir eu de près ou de loin ce parcours. Alors pourquoi moi j'aime les trains et d'autres pas?
A+lbert
Re: Quel souvenir d'un amour de trains ?...
10 mns de discussion
18 ans de mariage
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BB66231- Nombre de messages : 102
Date d'inscription : 11/07/2009
Re: Quel souvenir d'un amour de trains ?...
Bonjour,
C'est de ton métier dont tu parles ? ...En ouvrant ce sujet, j'avoue que je pensais plutôt au premier souvenir de train marquant de l'enfance, celui qu'on n'a pas oublié...et qui a peut-être conditionné la passion ensuite...
C'est de ton métier dont tu parles ? ...En ouvrant ce sujet, j'avoue que je pensais plutôt au premier souvenir de train marquant de l'enfance, celui qu'on n'a pas oublié...et qui a peut-être conditionné la passion ensuite...
Re: Quel souvenir d'un amour de trains ?...
Bonjour !
Bon, c'est une histoire courte, mais une histoire quand même
Tout a commencé en 2005, quand mon père m'annonce, (dans le bus de retour d'Italie), qui'il possédait un réseau HO de train miniatures. En ouvrant le coffre, j'ai vu pas mal de beau matériel (malheureusement en partie HS). C'est alors qu'il me racontait que mon arrière grand père était un des chefs de gare de Haguenau... Il me racontait aussi l'époque des locomotives à vapeur à saverne, quand il les voyait passer à 5 ans (en 1965) depuis le jardin de mon autre arrière grand père. Le linge devenait noir au moment ou elles passaient , puis c'était l’époque des TEE Kleber et Stanislas avec les BB 16000 puis 15000.
Enfin les Fers à Repasser...
Il a ensuite arrêté de regarder les trains, mais il aime toujours beaucoup voir mes photos.
C'est avec cet alléchant discours que je me suis mis au bord des voies C'était le temps ou les primas commençaient tous juste a venir, j'ai vu les dernières "Jaquemin" BB 25100 tirer des FRET (pour peu de temps). Puis c’était au tour des BB 15000 de disparaître avec leur TEOZ, je ne me rendais pas encore compte de ce tragique évènement. J'ai commencé à acheter des revues. Enfin, c’était au tour des BB 16500 de prononcer leurs derniers mots en 2009. C'est en cette année que j'ai eu Internet, et au fil des "vagabondages" j'ai trouvé qu'il existait des forums... Je cherche toujours dans les diapos pour voir si je n'ai pas une seul photo de 1960 ou 1970 (date a laquelle mon grand père vraiment passionné de train ... est décédé )
Voila comment je suis tombé dans la marmite , depuis je n'ai que des photos de la L1... patience, les vacances approchent
A+
Eric
Bon, c'est une histoire courte, mais une histoire quand même
Tout a commencé en 2005, quand mon père m'annonce, (dans le bus de retour d'Italie), qui'il possédait un réseau HO de train miniatures. En ouvrant le coffre, j'ai vu pas mal de beau matériel (malheureusement en partie HS). C'est alors qu'il me racontait que mon arrière grand père était un des chefs de gare de Haguenau... Il me racontait aussi l'époque des locomotives à vapeur à saverne, quand il les voyait passer à 5 ans (en 1965) depuis le jardin de mon autre arrière grand père. Le linge devenait noir au moment ou elles passaient , puis c'était l’époque des TEE Kleber et Stanislas avec les BB 16000 puis 15000.
Enfin les Fers à Repasser...
Il a ensuite arrêté de regarder les trains, mais il aime toujours beaucoup voir mes photos.
C'est avec cet alléchant discours que je me suis mis au bord des voies C'était le temps ou les primas commençaient tous juste a venir, j'ai vu les dernières "Jaquemin" BB 25100 tirer des FRET (pour peu de temps). Puis c’était au tour des BB 15000 de disparaître avec leur TEOZ, je ne me rendais pas encore compte de ce tragique évènement. J'ai commencé à acheter des revues. Enfin, c’était au tour des BB 16500 de prononcer leurs derniers mots en 2009. C'est en cette année que j'ai eu Internet, et au fil des "vagabondages" j'ai trouvé qu'il existait des forums... Je cherche toujours dans les diapos pour voir si je n'ai pas une seul photo de 1960 ou 1970 (date a laquelle mon grand père vraiment passionné de train ... est décédé )
Voila comment je suis tombé dans la marmite , depuis je n'ai que des photos de la L1... patience, les vacances approchent
A+
Eric
Re: Quel souvenir d'un amour de trains ?...
Bonjour,
Ce qui est passionnant avec la différence de générations , c'est de voir que si le matériel change, l'intérêt grandit de la même façon, et que très souvent , c'est dans le creuset familial...Il y a dans le récit d'Albert et d'Eric la même transmission d'une mémoire familiale, on est comme dépositaire quelque part de ces souvenirs et on les perpétue à sa façon, avec le regret quand même, on le sent, que les aïeuls n'aient pas transmis plus de traces de ce qu'ils ont vécu...
Vincenot le montre aussi de la même façon dans ses livres... Je crois que c'est quelque chose qui a plus de poids et la chance d'exister si ça remonte aux grands-parents ou plus loin encore ...Je ne suis pas sociologue mais je trouve par contre qu'on a là une belle illustration de la façon dont se construit l'Histoire... Pas celle des puissants qu'on veut nous faire croire, mais la seule, la vraie ,celle de l'Humanité...Et c'est pour cela que j'aime tant les récits des gens, il n'y a nulle curiosité personnelle mais la fascination ( le mot n'est pas trop fort) pour les mécanismes de construction des humains, la façon dont se tisse une société...
Franchement, c'est beau non ? ces deux histoires à travers les générations...C'est tellement le contraire de l'axiome qu'on nous bassine " tout fout le camp", tellement faux ... Là , c'est tout le contraire du passéisme, c'est l'essentiel qui est conservé une fois passé à l'écrémage du temps...
Et je suis encore une fois atypique ;-) , la seule certainement où non seulement rien de familial mais plaisir transmis de fils en mère... C'est ce qui explique que j'ai en fait un pied dedans , un pied dehors, et tant envie de voir communiquer ces deux mondes, au niveau photo notamment ( même en y croyant de moins en moins ) ...
Merci en tout cas Albert et Eric pour ces deux belles histoires, d'autant que c'est aussi un panorama du matériel ferroviaire et que là encore, on voit que la passion ne dépend pas de ce qui passe sous les yeux... Si le choix se fait ensuite...au départ, un train est un train...
Ce qui est passionnant avec la différence de générations , c'est de voir que si le matériel change, l'intérêt grandit de la même façon, et que très souvent , c'est dans le creuset familial...Il y a dans le récit d'Albert et d'Eric la même transmission d'une mémoire familiale, on est comme dépositaire quelque part de ces souvenirs et on les perpétue à sa façon, avec le regret quand même, on le sent, que les aïeuls n'aient pas transmis plus de traces de ce qu'ils ont vécu...
Vincenot le montre aussi de la même façon dans ses livres... Je crois que c'est quelque chose qui a plus de poids et la chance d'exister si ça remonte aux grands-parents ou plus loin encore ...Je ne suis pas sociologue mais je trouve par contre qu'on a là une belle illustration de la façon dont se construit l'Histoire... Pas celle des puissants qu'on veut nous faire croire, mais la seule, la vraie ,celle de l'Humanité...Et c'est pour cela que j'aime tant les récits des gens, il n'y a nulle curiosité personnelle mais la fascination ( le mot n'est pas trop fort) pour les mécanismes de construction des humains, la façon dont se tisse une société...
Franchement, c'est beau non ? ces deux histoires à travers les générations...C'est tellement le contraire de l'axiome qu'on nous bassine " tout fout le camp", tellement faux ... Là , c'est tout le contraire du passéisme, c'est l'essentiel qui est conservé une fois passé à l'écrémage du temps...
Et je suis encore une fois atypique ;-) , la seule certainement où non seulement rien de familial mais plaisir transmis de fils en mère... C'est ce qui explique que j'ai en fait un pied dedans , un pied dehors, et tant envie de voir communiquer ces deux mondes, au niveau photo notamment ( même en y croyant de moins en moins ) ...
Merci en tout cas Albert et Eric pour ces deux belles histoires, d'autant que c'est aussi un panorama du matériel ferroviaire et que là encore, on voit que la passion ne dépend pas de ce qui passe sous les yeux... Si le choix se fait ensuite...au départ, un train est un train...
Re: Quel souvenir d'un amour de trains ?...
C'est bien sympa ce sujet
C'est en lisant le réçit d'Evelyne , que de trés bons souvenirs d'enfance et liés au train reviennent à la surface . Pour la petite histoire toutes mes vacances d'été se sont déroulées dans l'Aveyron au Nord de Millau chez mes grands parents , donc fin juin !!! le train , plus précisement le MV36908 , Béziers - Millau en presque 4 Heures !! . Pour eviter la chaleur de la journée le départ de Beziers : 5H40 .
Le train se composé de deux BB4100 , une ou deux Bastille et soit des porte grumes , des standarts à toit rond ou murphy pour les marchandises et le bétail !! , a l'heure ou j'écri ces quelques lignes , l'odeur caractéristique de ces voitures et le meuglement du bétail sont presque intact dans mon esprit . Aprés je passe sur les détails qui font parti de ce long voyage ( arrêt interminable à bédarieux et Tournemire Roquefort) pour chargement ou accroche de wagons , arrêt obligatoire dans toutes les gares du parcours , vitesse 60KM/heure maxi !!
Mais une Superbe Ambiance que je n'oublirai jamais !!!
Et pour finir , l'arrivée à Millau , mon grand pere attandant sur le quai , l'expedition continuée confort de sa Frégate Amiral oblige au cul de ce MV dépassait au PN d'Aguessac !!
C'est en lisant le réçit d'Evelyne , que de trés bons souvenirs d'enfance et liés au train reviennent à la surface . Pour la petite histoire toutes mes vacances d'été se sont déroulées dans l'Aveyron au Nord de Millau chez mes grands parents , donc fin juin !!! le train , plus précisement le MV36908 , Béziers - Millau en presque 4 Heures !! . Pour eviter la chaleur de la journée le départ de Beziers : 5H40 .
Le train se composé de deux BB4100 , une ou deux Bastille et soit des porte grumes , des standarts à toit rond ou murphy pour les marchandises et le bétail !! , a l'heure ou j'écri ces quelques lignes , l'odeur caractéristique de ces voitures et le meuglement du bétail sont presque intact dans mon esprit . Aprés je passe sur les détails qui font parti de ce long voyage ( arrêt interminable à bédarieux et Tournemire Roquefort) pour chargement ou accroche de wagons , arrêt obligatoire dans toutes les gares du parcours , vitesse 60KM/heure maxi !!
Mais une Superbe Ambiance que je n'oublirai jamais !!!
Et pour finir , l'arrivée à Millau , mon grand pere attandant sur le quai , l'expedition continuée confort de sa Frégate Amiral oblige au cul de ce MV dépassait au PN d'Aguessac !!
steph 12- Nombre de messages : 80
Date d'inscription : 18/03/2009
Re: Quel souvenir d'un amour de trains ?...
Moi c'est Hélène ... Bien joli souvenir d'une ligne qui m'est chère...
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