Photographies d'appareils photographiques
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picasso
Hélène
j.bratieres
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Re: Photographies d'appareils photographiques
Cet appareil atypique, le Brownie AUTO 27, n'a été commercialisé que deux ans entre 1963 et 1964 par Kodak.
Il a un réglage manuel des distances, un flash complètement intégré protégé par un volet rabattable et
une cellule réglant automatiquement la vitesse d'exposition.
Il valait 35 $ en 1963. Il n'a été vendu qu'aux Etats-Unis (et au Canada).
Malgré sa consistance tout plastique, le Brownie Auto 27 dont la teinte varie suivant la lumière entre le bleu turquoise et un vert bleu foncé, a sa façade avant composée d'irréguliers quadrilatères rectangles ou carrés dont la variété des teintes et motifs retient le regard.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Un appareil extraordinaire: le Midget 55 de Ross and Ensign. Il était fabriqué en Angleterre à
partir de 1934. Il y avait trois modèles: le Midget 22, le Midget 33 et le Midget 55, chacun valant
en shilling son numéro. Il s'agit ici du modèle 55 (il valait donc 55 shillings) qui était le plus élaboré: deux ouvertures, cinq vitesses: poses T et B, 1/25 1/50 1/100, un viseur sport dont une partie repliable comme un porte partitions, un viseur prisme à double orientation.
Tout cela dans un boîtier fermé de profondeur 1,2 cm, largeur 9 cm et hauteur 4,5 cm ! On le voit là rangé dans son étui cuir. Le timbre est un vrai timbre d'aujourd'hui de chez nous.
Il est ici ouvert, avec le viseur sport ouvert et le viseur prisme à droite en position intermédiaire entre 'paysage' et 'portrait'.
Ici il est en position verticale. le trou dans la face avant est l'emplacement de visée du viseur prisme lorsqu'il est rabattu.
Un appareil magnifique destiné aux femmes. Parfait dans l'esthétique, parfait dans la technique (lorsqu'il est plié, rien ne dépasse) il paraît que les clichés (sur film spécial) étaient plus qu'honorables.
Le voilà dans la main !
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le D20 était fabriqué en Angleterre par Coronet à partir de 1934. Il était vendu en France (comme ce modèle), avec textes en français, ... Suite aux restrictions imposées (semble t-il en 1938) par l'état français aux importations, il était commercialisé sous le nom de la marque française Tiranty.
C'est un boîtier d'entrée de gamme typique de l'époque: carcasse en bois, cuir en papier, pose T et instantané (tirette de la photo ci-dessus).
A noter que pour ouvrir le boitier et accéder aux objets étranges à l'intérieur (voir dernière photo), il faut le déverrouiller en tirant vers l'extérieur le bouton de bobinage du film (voir ci-dessus) (cherché longtemps).
Ce pauvre D20 sans rien de spécial et en mauvais état possède une sorte de vie nostalgique sous son écorce usée.
Re: Photographies d'appareils photographiques
En 1936, Coronet fabrique le Coronet Vogue. C'est un petit appareil (11 cm x 7 cm x 3 cm replié) élégant par ses
formes ovales et sa bakélite marron légèrement granitée.
Il s'ouvre automatiquement en appuyant sur le bouton rond en haut qui déclenche un puissant ressort.
Le viseur en haut et tout petit. Il y a un mode pose et un mode instantané.
Le déclencheur, à gauche, est élégant aussi et toujours armé.
Le Coronet Vogue était vendu en France par le fabricant français Tiranty, il valait 69,50 Fr en 1936.
Il n'a eu aucun succès car il utilisait un film destiné au cinéma spécialement bobiné pour lui !
Et pourtant, il sait concerner la vue, l'ouïe et le toucher.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Dignette de Dacora est un appareil populaire (ouest) allemand 24x36 de 1955.
C'est un appareil simple (sans automatisme ni cellule), mais avec des réglages assez complets
(vitesse, ouverture).
Originalité discutable: l'emplacement et l'orientation du déclencheur à gauche sur la face avant.
Il a subi d'innombrables versions et il n'est pas facile de reconnaître les modèles, celui-ci est un des
plus anciens.
Sous un aspect banal, il cache des éléments simplement beaux (ci-dessus et ci-dessous):
.le levier d'armement dont la forme est élégante est forte
.la molette sculptée en bout du levier d'armement (un vrai plaisir sous le pouce)
.la courbure du logement de celui-ci
.le compte-vues inhabituel au centre du levier d'armement
Voir aussi la sérénité du mécanisme de fermeture ci-dessous.
Enfin, une vue de dessous montre le profil du boitier, avec son liseré de métal
et la vasque du bouton de rembobinage.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Vitessa 500S est sorti entre 1965 et 1968, il était fabriqué par Voïgtlander.
Mon premier vrai appareil.
Moche déclencheur genre interrupteur.
Solideet lourd , rectangulaire, dominé par le rectiligne, fonctionnel, complet, il EST.
Vue de dessus réglée par les lignes droites alternées de métal et de noir
Beauté des lettres du nom du modèle
Mon premier vrai appareil.
Moche déclencheur genre interrupteur.
Solideet lourd , rectangulaire, dominé par le rectiligne, fonctionnel, complet, il EST.
Vue de dessus réglée par les lignes droites alternées de métal et de noir
Beauté des lettres du nom du modèle
Re: Photographies d'appareils photographiques
L'argus A3 date de 1940, il utilise du film 24x36 (35 mm) classique. Il a un objectif téléscopique, 5 ouvertures et des vitesses jusqu'au 1/150 ème de seconde.
C'est un appareil solide (610 grammes!).
Il dispose d'un extinctomètre (dit aussi cellule à extinction) visible ci-dessus. Il permet d'avoir une idée de la mesure de l'intensité de la lumière en regardant le dernière chiffre visible sur l'échelle des lumières en dégradés de gris. Ensuite, au moyen des disques visibles sous la cellule on peut déterminer l'ouverture et/ou la vitesse. Il est même tenu compte de la sensibilité du film (les unités normalisées DIN, ISO ou ASA n'étaient pourtant pas déterminées à l'époque).
Magnifique ligne fluide, contraste du grand rectangle cuir avec les deux fines lignes métalliques en haut et en bas et
l'irrégularité de la carrosserie supérieure ainsi que les disques du compteur de vues et de l'objectif.
Métal mat de la carrosserie supérieur, opposé au cylindre brillant de la partie télescopique de l'objectif.
Bouton de rembobinage avec flèches papillon, même chose pour l'ouverture du boîtier.
La forme générale du boîtier s'élève verticalement depuis un fin rectangle terminé par des demi-cercles. Cette forme
doublement rectiligne est agréable à tenir.
La cellule à extinction (extinctomètre) bien visible est néanmoins mystérieuse.
Les trois disques pivotant à l'arrière pour le réglage diaphragme/vitesse constituent une étrange charade.
Re: Photographies d'appareils photographiques
En route pour quelques objets étranges.
Le Twinflex d'Univex date de 1939. C'est un petit appareil reflex biobjectif (le viseur et l'objectif sont situés sur un chariot unique) , fabriqué aux Etats Unis, qui n'est guère plus grand qu'un Rollei 35. Il utilisait un film spécial 'OO'. Ceci ne lui a sans doute pas porté chance. Sa construction est peu solide, le déplacement du chariot aléatoire et le dépoli du viseur en plastique souple !
Univex est aussi le fabricant du Mercury, appareil plutôt bizarre lui-même, présenté sur la première page de ce fil.
Façade rectangulaire avec deux rectangles allongés et striés forés de deux têtes d'écrous métalliques encadrant le cercle doublé du viseur et de l'objectif en haut et le bouton métallique cranté de mise au point en bas.
Protection du viseur en aluminium plié, vernie en noir, marquée d'un liseré métallique et divisée par quatre fines bandes verticales de métal nu coupées par le nom de la marque et interrompant le nom du modèle. Elle ne s'ouvre pas complètement à la verticale, créant ainsi le seul plan incliné de l'appareil.
Face du boîtier grainée avec deux rivets métal, se terminant par les glissières d'ouverture aux fines inscriptions gravées.
Le Twinflex d'Univex date de 1939. C'est un petit appareil reflex biobjectif (le viseur et l'objectif sont situés sur un chariot unique) , fabriqué aux Etats Unis, qui n'est guère plus grand qu'un Rollei 35. Il utilisait un film spécial 'OO'. Ceci ne lui a sans doute pas porté chance. Sa construction est peu solide, le déplacement du chariot aléatoire et le dépoli du viseur en plastique souple !
Univex est aussi le fabricant du Mercury, appareil plutôt bizarre lui-même, présenté sur la première page de ce fil.
Façade rectangulaire avec deux rectangles allongés et striés forés de deux têtes d'écrous métalliques encadrant le cercle doublé du viseur et de l'objectif en haut et le bouton métallique cranté de mise au point en bas.
Protection du viseur en aluminium plié, vernie en noir, marquée d'un liseré métallique et divisée par quatre fines bandes verticales de métal nu coupées par le nom de la marque et interrompant le nom du modèle. Elle ne s'ouvre pas complètement à la verticale, créant ainsi le seul plan incliné de l'appareil.
Face du boîtier grainée avec deux rivets métal, se terminant par les glissières d'ouverture aux fines inscriptions gravées.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour,
Je me permets de compléter la rubrique de notre ami J.Bratières, en y incluant quelques photos d'appareils photos vus au cours d'une exposition photographique. Je n'ai pas d'éléments techniques à apporter et mes clichés ont été réalisés au portable... Il s'agit juste d'un clin d'œil envers notre ami :
A+lbert
Je me permets de compléter la rubrique de notre ami J.Bratières, en y incluant quelques photos d'appareils photos vus au cours d'une exposition photographique. Je n'ai pas d'éléments techniques à apporter et mes clichés ont été réalisés au portable... Il s'agit juste d'un clin d'œil envers notre ami :
A+lbert
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour Albert,
Merci de passer ici!
Je n'ai jusque là trouvé aucun appareil photo qui me laisse indifférent, ceux que tu montres le confirment.
Le premier ne ressemble à rien que je connaisse. Le Rectaflex est beau mais atteint des prix bien élevés,
quant au Sem, ce modèle m'est inconnu bien qu'ayant un air de famille (revêtement gris tramé, formes géométriques régulières) avec d'autres de la même marque.
Merci de passer ici!
Je n'ai jusque là trouvé aucun appareil photo qui me laisse indifférent, ceux que tu montres le confirment.
Le premier ne ressemble à rien que je connaisse. Le Rectaflex est beau mais atteint des prix bien élevés,
quant au Sem, ce modèle m'est inconnu bien qu'ayant un air de famille (revêtement gris tramé, formes géométriques régulières) avec d'autres de la même marque.
Re: Photographies d'appareils photographiques
L'Argus C3 Matchmatic a reçu la cellule qui lui manquait (page 4 du fil), il retrouve son aspect 'naturel'.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Hawkette de Kodak date de 1930. Il a une élégante façade en bakélite marbrée et était utilisé exclusivement
à titre de publicité.
Son tableau de bord est assez succint , mode pose et instantané, trois ouvertures indéterminées.
Le reste est fixe.
La façade est intéressante par sa composition rectangulaire aux angles relevés de carrés exhaussés.
Le rectangle intérieur est divisé en bandes verticales elles-mêmes composées de fines stries profondes, il
encadre l'objectif dont la circularité surprend dans toutes ces linéarités.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour,
Il est beau effectivement celui- là avec son look bois précieux...
Il est beau effectivement celui- là avec son look bois précieux...
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Kodak 35 Rangefinder (télémètre) était fabriqué entre 1940 et 1948 aux Etats Unis. Son but (non atteint) était de concurrencer l'Argus C3 (a priori l'appareil le plus populaire de tous les temps) déjà vu dans ce fil.
Son aspect étrange vient du carter qui recouvre le mécanisme de couplage du télémètre optique et du réglage des distances. C'est un appareil plutôt performant avec un objectif excellent. Sa mécanique vieillit malheureusement plutôt mal.
Tout l'intérêt de ce boitier réside dans ses bizarretés:
Monstre étrange aux trois yeux rectangles, avec son carter coulant le long de l'objectif, l'objectif et ses excroissances toutes uniques: petit protège déclencheur, grande roue dentée des distances aux motif spiralés, étrange curseur des ouvertures avec ses crans gravés où se bloque la bosse du curseur, bague des vitesses aux larges créneaux surmontée du nom du pays de fabrication en lettres anglaises, déclencheur pointant vers l'arrière, petit pied ferme tronconique, le tout émergeant d'un boitier aux formes si simplifiées (montée droite depuis un stade).
Bizarre roue compte vues sept fois bossue, élégant papillon de fermeture, il faut l'ouvrir pour voir la bobine d'entrainement du film et celle de réception en acier brossé, l'une avec ses crans d'accroche nets et espacés, l'autre avec la longue fente à ressort de fixation du film.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Autre objet bizarre, le Tower 39, en réalité fabriqué par Mamiya en 1961, pour Sears Tower, son véritable nom est Mamiya automatic 35 EEF.
C'est un appareil 24x36 avec réglage manuel des distances (son successeur aura un télémètre), il gère la sensibilité des films et, en mode automatique, sa cellule indique l'ouverture nécessaire pour une exposition correcte.
Il est totalement métallique et pèse 660 grammes !
Aspect tout à fait spécial par sa large ampleur, ses formes massives, ses commandes linéaires, ses éléments rigoureusement organisés.
Volet transparent de protection du flash surprenant.
L'ouverture du boitier demande de faire coulisser l'arrière du viseur vers le haut (cela ne se trouve pas sans mode d'emploi !).
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Rajar 6 était fabriqué en 1939 en Angleterre par APEM. Il s'agit du premier appareil à soufflet
entièrement en bakélite.
Il n'avait que le mode pose et instantané comme réglage. Il faisait 8 vues 6x9 sur un film format 120.
Un petit viseur rabattable permettait la prise de vues en portrait ou paysage.
Un très bel exemple de style art Déco.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Tri-vision de la société Haneel est un appareil stéréoscopique américain datant de 1944.
Il est en bakélite marbrée (il existe des modèles noirs). Il a deux obturateurs synchronisés (le bouton
de gauche est le déclencheur), il a trois ouvertures différentes (bouton central) qui se font
simultanément sur les deux objectifs et enfin un mode pose ou instantané (bouton de droite).
Certains esprits mal intentionnés indiquent que cet appareil n'est pas synchronisé et que chaque obturateur
a son bouton indépendant ! Ce n'est PAS vrai et les deux boutons ne sont PAS symétriques (celui de droite
est un peu moins haut et modifie le mode entre pose et instantané).
Le dos est assez intéressant.
Le Tri Vision utilise des films au format standard 828, MAIS comme il fait deux vues par cliché la numérotation
du film 828 ne correspond pas à la numérotation du Trivision, d'où cette magnifique invention ergonomique: que
je vais essayer d'expliquer: le Trivision a trois regards inactiniques verts indiqués L C R (Left, Center, Right) chacun
étant séparé en deux parties. L'étiquette dorée indique en bas le numéro de la vue que l'on est en train de prendre et dans la ligne supérieure ce qu'il faut voir dans les regards. Exemple : pour faire la photo n° 2, il faut voir dans le regard de droite (R) le chiffre 3 sur le film ! (Ouf, c'est un des rares appareils dont j'ai le mode d'emploi).
Bien qu'il s'agisse plutôt d'un appareil d'entrée de gamme (la bakélite se fissure, rien n'est droit, il y a des fuites de
lumière à la fermeture du boitier qui n'est fermé que par deux ridicules clips), son esthétique bizarre, la combinaison des matériaux (métal, bakélite), en font un objet très attachant.
Dernière édition par j.bratieres le Lun 20 Juin - 13:50, édité 5 fois
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour,
J'avoue que je serais curieuse de voir les photos qu'il faisait...
J'avoue que je serais curieuse de voir les photos qu'il faisait...
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour Hélène,
Voici sur une publicité, comment se présente un cliché et la visionneuse qui permet de le regarder (l'analogue des
planches touristiques en deux colonnes qui existent encore).
L'appareil fonctionne, mais je ne suis pas certain que l'on puisse encore trouver du film 828 aujourd'hui !
Voici sur une publicité, comment se présente un cliché et la visionneuse qui permet de le regarder (l'analogue des
planches touristiques en deux colonnes qui existent encore).
L'appareil fonctionne, mais je ne suis pas certain que l'on puisse encore trouver du film 828 aujourd'hui !
Re: Photographies d'appareils photographiques
Ah ben merci, je comprends mieux son fonctionnement là...
Re: Photographies d'appareils photographiques
On peut aussi voir les images stéréos sur un écran d'ordinateur avec la lunette décrite ici:
http://www.collection-appareils.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=38&t=8777
http://www.collection-appareils.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=38&t=8777
Re: Photographies d'appareils photographiques
L'Ultra reflex de Fex , appareil français, date de 1952. C'est en fait le bas du boitier d'un Ultra fex sur lequel a été monté le viseur.
Il a trois vitesses 1/25 1/50 et 1/100. Il dispose de deux ouvertures: normal et intense.
On retrouve le cache bleu sur l'objectif pour faire croire à une optique traitée, les caches jaunes de correction
de parallaxe habituels chez Fex.
Il valait 3895 Fr en 1953.
Il a été suivi par L'Ultra Reflex 4,5 qui avait un objectif et un obturateur bien plus performants.
Cette vue me fait irrésistiblement penser à HAL bien que la couleur n'ait rien à voir.
Ressenti:
Solide appareil à la forme étrange pour un Fex.
Section verticale colorée et variée.
Reflets jaunes de l'oculaire du viseur sport et du collimateur du viseur par dessus contrastant avec le bleu du faux traitement optique de l'objectif.
Réticule sur le viseur sport (invisible à travers l'oculaire jaune!).
Mode de fermeture bizarre avec barre d'appui bloquant arrière et fond.
Façade avec deux verticales métalliques sur les côtés sectionnées par le capot rectangulaire de l'objectif , les deux cercles du viseur et de l'objectif sont encadrées par FEX, ULTRA et REFLEX.
Les cannelures des côtés avec leurs plaques, rivets, boutons, écrous, barres métalliques s'opposent à la face arrière simple, lisse juste montuée du compte vues.
La vue dans le viseur est inversée.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Coronet Cub Flash est un appareil anglais bas de gamme de 1948.
L'objectif est télescopique avec cran de verrouillage en tournant, le compte vues protégé par opercule mobile.
Ce modèle a deux ouvertures f8 et f16, certains avaient à la place un filtre jaune.
Le déclencheur est bloqué lorsque l'objectif est rentré.
Globalement, la qualité est mauvaise: l'objectif se bloque ou se débloque au hasard, le boîtier ne jointe pas bien (plastique tordu), le viseur a l'air collé à la main , ...
Le magnifique étui du Coronet Cub !
Il faut reconnaître que le sac façon musette percée du Coronet Cub lui donne un aspect très populaire, ce qu'il est d'ailleurs.
Toutefois , la couronne d'objectif métallisée mat, soulignée par la rangée des prises pour synchronisation du flash, l'objectif téléscopique avec verrouillage quart de tour bordé de quatre pattes vissées évidentes et le compte vues masquable par un opercule mobile lui donnent son caractère anglais rural.
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