Photographies d'appareils photographiques

L'Anscoflex I d'Ansco (racheté depuis par Agfa) date de 1954. Il a été lui aussi conçu par le designer franco américain Raymond Loewy (il a aussi fait des locomotives, la bouteille de Coca, des bâtiments, la cité d'émeraude du magicien d'Oz...).



C'est un appareil bas de gamme (il n' y a aucun réglage) mais, outre l'esthétique, plein d'idées nouvelles:
.un rideau vertical de protection des lentilles et de l'oculaire du viseur
.l'ouverture du rideau dégage l'oculaire du viseur avec un simple, génial et beau mécanisme de glissières
.le boitier s'ouvre autour d'une charnière inférieure
.un gros bouton commode fait armement et avance du film et assure la protection contre la double exposition



Regroupe dans une boite magnifique des commodités nouvelles. Boitier aux formes douces en aluminium laqué d'un doux gris vert, volets, rideaux et armement en aluminium brossé. Déclencheur et loquet d'ouverture laqués en rouge métallisé.
Face avant avec énorme viseur carré, petit viseur rond sur un fond métallique finement bosselé de petits cercles. Rideau en aluminium, légèrement cambré (pour abriter les glissières), face avant striée avec marque dans une fonte simple et nette d'un rouge discret. Bouton d'armement commode et décoré de petits cubes gravés.

Mécanisme d'ouverture des volets exceptionnel de beauté et de simplicité. Armement aller-retour d'une extraordinaire commodité, de même que l'ouverture du boitier avec une charnière.

Une vraie oeuvre complète de designer !

Le Longchamp de Boumsell est un appareil français vendu entre 1940 et 1948.

Boumsell n'est qu'un distributeur. On pense que l'appareil était fabriqué par FAP (français) ou Monarch (USA).
FAP ayant lui même importé des appareils américains, les deux ne sont pas exclusifs.

Le Longchamp est le bas de gamme. Il dispose juste du réglage pose ou instantané. Il utilise du film
format 127 et devait sans doute permettre de faire du double format car il a deux compte-vues.

Point de vue non technique:
Très élégant appareil par sa forme en hauteur et sa faible profondeur, sa bakéite grainée sur les faces avant et arrière, l'anneau chromé autour du regard du viseur.
Tout cela sans parler, bien sûr des lettres LONGCHAMP en style Art déco, certes elles ne sont pas gravées, mais simplement peintes (et plutôt grossièrement) sur la plaque d'objectif, mais à 40 centimètres, cernées par leur brillants entourages elles font une sympathique illusion. La forme bizarre du capot du dépoli ainsi que de son couvercle métallique contribuent à donner au boitier la beauté d'un haut gratte ciel.
Tenir le Longchamp entre deux doigts par une des faces latérales en suivant le grain de la bakélite procure une sensation d'accomplisssement.

Le Color Clipper d'Ansco date à peu de choses près de la même époque que l'Anscoflex ci-dessus.
C'est un lourd appareil métallique (presque 600 g! ) utilisant du film au format 120. Il n'y a qu'un
seul réglage Color et B&W, ce qui règle l'ouverture (grande pour Color, petite pour B&W).

L'objectif est téléscopique.

Son flash, plutôt spectaculaire, dispose d'une rare ampoule au magnésium bleue, il y a aussi une petite ampoule
de test des piles et un bouton d'éjection de la lampe (pour ne pas se brûler après la combustion du magnésium).



Des points communs avec l'Anscoflex pourraient faire penser que le designer était aussi Raymond Loewy,
je n'ai pas réussi à en trouver confirmation. Mais par contre, j'ai trouvé qu'Aérotrain était un client de Raymond
Loewy.



Son aspect plutôt moderne (voir l'Anscoflex) en aluminium (?) brossé, ses formes à base de lignes droites verticales, ses couleurs atypiques, le stupéfiant déclencheur plat en bande striée rouge métallique, les deux creux de prise de doigt pour tirer l'objectif sont séduisants.

Le flash, monument à l'ampoule bleue, avec sa petite lampe de test des piles, son bouton d'éjection de l'ampoule, sa grosse molette crantée et sa prise de contact conique confirme cette impression.

La face avant, haute et digne avec sa légère gravure en nid d'abeille, étonne par ses formes et ses couleurs.

Le verrouillage contre la double exposition reste un mystère que l'on peut contrer en remontant le déclencheur à la main.
Le viseur grand et carré est lumineux.

Ne pas oublier les crans du loquet du boitier, ni le fait qu'il y a un grand trou entre le viseur et l'objectif !

Le Superfex de FEX a été fabriqué en France de 1945 à 1955. La gamme Fex a été créée par Fritz Kaftanski, juif allemand réfugié en France pendant la guerre. Le nom de la marque était d'ailleurs KAFTA avant de devenir FEX.

C'est un appareil simple, il n' y a comme réglage que pose ou instantané (tirette en bas à gauche).





Petit appareil léger, plutôt plat devant mais arrondi à l'arrière. Il est entouré d'étroites cannelures verticales contrastant avec les raies horizontales sur la plaque métallique autour de l'objectif. Deux rivets saillent de la face avant, tandis que l'arrondi arrière se raccorde aux cylindres autour des bobines.Des surfaces lisses autour de l'objectif , sur une partie du dessus et du dessous. Sur le dessus, une plage cannelée en pente douce reçoit le viseur en veille, elle est bordée de chaque côté d'une petite falaise verticale cannelée elle aussi.

Sur la plaque métallique avant amusante symétrie de deux petits carrés noirs dans les angles inférieurs, à droite le logo FEX France, à droite les flèches d'indication de la position pose ou instantané du bouton tirant correspondant.

Contraste des teintes de cette plaque claire et des colonnes de bakélite sombre.

Ressemblance globale à moindre échelle des formes avec l'Ulfra Fex.

Très beau posé sur sa boîte rouge et noir.

Le Mark XII de la société Herbert George (ou Imperial) date de 1961. Imperial s'est fait une habitude de présenter des appareils en plastique, simples, mais toujours avec des designs étonnants (il y en a dans le fil). Il s'agit ici d'un jouet (il était aussi vendu sous le nom Girl Scout).



Pas plus simple: il n'y a aucun réglage. Toutefois la forme en plastique est plutôt complexe avec une fausse cellule photo électrique en métal embouti, le film circule à l'arrière directement sur le plastique (pas de rouleaux) sur une forme arrondie (peut-être cela sert-il à compenser la mauvaise qualité de l'objectif ?).



Appareil étrange par ses formes et couleurs (celui-ci est gris, mais il existe en beige, rouge, bleu, vert pâle ... (habituel chez Herbert George).
Motif à base de points ou de cercles également habituel sur la plaque métallique.
Bizarres renforts en creux ou en relief, manie des entretoises, surépaisseurs.
Appareil quelque peu sorcier.
Satisfaisant par l'imbrication et la simplicité des pièces au démontage.

La Lumibox de Lumière date de 1930. C'était le modèle le plus luxueux (hormis sa variante avec retardateur).
Elle utilise du film au format 620, dispose de trois ouvertures, du mode pose ou instantané et d'un rare réglage des distances de 2m à l'infini).





Ici l'on voit la magnifique gravure du revêtement du boitier ainsi que la forme du crochet de verrouillage des deux parties du boitier. Une oeuvre abstraite.

Le ou la Lumibox:
Parallélépipède métallique revêtu de cuir finement marqué de losanges en quinconce avec deux bandes métalliques noires et lisses à la séparation des deux parties du boitier et à l'avant.

Face avant en émail cloisonné noir brillant encadré d'un liseré métallique, fin losange chromé vertical effleurant les arcs de cercle des ouvertures, distances et vitesses.
L'échelle des distances est inhabituelle, le plus proche étant à droite. Les valeurs autorisées sont 2m 5m et l'infini (8 vertical barré). Double regard des viseurs supérieurs réduit symétriquement dans les rivets argentés inférieurs.

Poignée supérieure en cuir marquée en relief 'LUMIERE', elle est fixée à l'avant sur un bizarre crochet chromé, lui même enclenché sur un petit bouton annelé. Pour ouvrir la boite, il faut: dégager le crochet chromé, enfoncer le bouton annelé puis tirer sur le bouton d'avance du film.

Les commandes sont désagréables: petites, résistantes, aiguës.
Le réglages des distances fait tourner le logo LUMIERE de l'objectif avec ses deux petits losanges. Prise pour déclencheur souple.

Objet beau.

Le Polaroïd SX70 (et ses variantes) a été fabriqué de 1972 à 1978.

C'est, techniquement, un objet extraordinaire:

• un appareil moyen format (8x8 cm) reflex mono-objectif, à visée très lumineuse, le viseur , la chambre sont pliants, le transformant en une boite de 4 cm d'épaisseur
• assurant la mise au point automatique par sonar ou manuelle jusqu'au rapport x 0,5 (soit à 25 cm du sujet),
• à obturateur/diaphragme à commande électronique,
• à fonctionnement automatique en lumière naturelle de 14 s à f/8 à 1/180 à f/22 et au flash de 1/40 à f/8 à f/96,
• à miroir éclair commandé par un moteur électrique,
• à chargement automatique par chargeurs de films-pack couleur, avec mise en place automatique électrique du premier cliché, le film contient la pile alimentant l'appareil
• à éjection automatique de la photographie effectuée, photographie qui se développe automatiquement sans aucune manipulation,
• à mesure automatique de l'exposition par cellule Silicium,
• à contrôle automatique de l'exposition au flash, par couplage diaphragme /distance de mise au point, de 6 m environ jusqu'au rapport x 0,5.





Il est certain que le SX70, appareil mythique, séduit plus par ses fonctionnalités que par son esthétique. Toutefois, il ne manque pas de ressources pour les sens. Déjà, il faut maîtriser la méthode d'ouverture/déploiement et repliement de la chambre, puis le ronronnement sec de la mise au point automatique est suivi de l'enclenchement mou de l'obturateur, puis du glissement filant du cliché sortant de l'appareil. Le changement du film se fait par appui sur une languette, déclenchant une sorte de brisure de l'appareil à l'intérieur de laquelle le film peut être extrait.

Les clichés apparaissent en quelques secondes de manière progressive, ils sont de très bonne qualité et se conservent longtemps (ce qui n' a pas toujours été le cas chez d'autres modèles).

Bonjour,
J'ai possédé par un temps, un tel appareil. Il est malheureusement aujourd'hui hors d'usage (un problème de pile, je crois) . Mais quel plaisir de voir sortir la photo et d'attendre qu'elle se développe... et cela aucun appareil passé ou actuel ne peut rivaliser avec...

A+lbert

Il n' y a pas de pile dans le SX70, celle-ci se trouve dans le film, il te suffit de mettre un film neuf (cela se trouve facilement car l' Impossible Project fabrique ces films).

Ce SX70 date de 1974 et fonctionne toujours.

Merci du tuyau, mais en fait je viens de regarder, il s'agit Image système E de Polaroïd, bien sûr. Et il n'est pas bloquer du tout. J'ai confondu avec un vieux caméscope. C'est l'âge...
Mais j'ai vraisemblablement dû arrêter de faire des photos, car je ne trouvais plus de pellicules...

A+lbert

L'Impossible project fait des films pour d'autres Polaroïd que le SX70... On trouve aussi de films sur le sites d'enchères, si tu y tiens vraiment ! Je ne fais plus que de l'APN, bien que certains de mes appareils anciens soient en état de fonctionner.

Le Koroll II de CMF Bencini est un appareil italien datant de 1960. Il est en fonte d'aluminium, simple et
utilise du film au format 120. Ne pas se fier à la surface gravée de petits cercles à côté du viseur, ce
n'est qu'une fausse cellule photo électrique. Le viseur est revêtu d'un revêtement réfléchissant donnant
un reflet particulier. Conception assez proche du Comet S du même CMF Bencini déjà cité (première page de ce fil).



De construction un peu analogue au Comet S (notamment par la forme en coupe du boitier aux coins abattus), Le Koroll est en fait très différent. On retrouve la partie gauche du capot (avec le nom en plus sur le Koroll) et ses stries verticales et le surgissement droit, mais celui du Comet évoque une créature, alors que celui du Koroll est à base de rectangles (beau viseur réfléchissant et fausse cellule). La plaque de fonte avant nait du liseré métallique inférieur, croît en s'évasant pour enserrer l'objectif , continue de s'élargir pour se fondre dans l'horizontale symétrique du bas du capot (dans le Comet, l'asymétrie reste la règle et c'est un fin liseré qui continue sur la droite).

La matière est aussi belle que celle du Comet, encore réhaussée par la lumière réfléchie du viseur et les poinçons réguliers de la fausse cellule.
Toutefois la taille du Comet , ses formes irrégulières et son objectif cannelé le rendent plus attachant.

Le Koroll 2 tient seul, légèrement incliné en arrière sur son pied en fonte d'aluminium.

Bonjour,

Très beau effectivement, j'aime beaucoup son design...

Le Spartus Press Flash fut fabriqué entre 1939 et 1950 par Galter (USA). C'était le premier appareil avec flash intégré, il utilisait du film au format 120.

Il dispose de deux ouvertures et de deux modèles d'ampoules qu'il faut choisir en fonction de la distance du sujet !

Les ampoules sont identiques à des ampoules à filament (elles sont même filetées alors qu'il suffit de les enficher), mais elles contiennent des filaments de magnésium.





Aspect très étrange ne ressemblant pas à une lampe de poche (comme le Philips) en raison de la taille de l'ampoule du flash. Capot partiellement grainé avec cinq triples bandes lisses. A l'arrière du capot élégant clips de fermeture du dos mi plat, mi droit, mi courbe avec ses formes complexes. Bouton chromé d'éjection de l'ampoule du flash sous la poignée.Arrière rectangulaire plat contrastant avec l'ouverture ronde et béante du flash à l'avant. Notice de choix des films et ampoules de flash en haut de la face arrière. L'ampoule du flash bien que filetée s'enfonce simplement jusqu'à la butée. Aspect différent lorsque le bouchon couvre flash est mis en place.
Face avant bien organisée avec en haut le viseur à droite symétrique du compartiment à piles à gauche, l'un carré, l'autre partiellement arrondi, les deux avec une partie chromée (contour du viseur, vis de contact des piles), plus bas, de part et d'autre de l'objectif, de fins filets noirs verticaux divergent vers de légers rectangles noirs. Il n'y a pas de marque apparente sous l'objectif (présente sur certains modèles), juste 'Made in USA' encadré par un sursaut du filet qui encadre la plaque métallique avant. Petits leviers et plaque de commandes sur les côtés.
Les parois du boitier comportent aussi cinq triples bandes lisses en relief se terminant obliquement vers le bouton d'avance du film. De profil contraste entre l'aluminium mat du réflecteur et le brillant noir de la bakélite. Longueurs étonnantes du viseur et du compartiment à piles.

Etonnant porte film métallique

Le Beacon 225 de Whitehouse Corp est un appareil américain de 1945. Il utilise du film au format 620.
Il a deux ouvertures (bright (écrit 'brite') et dull) ainsi que les modes instantané et pose.






Le Beacon 225 est le grand frère des Beacon I et II de la même époque qui utilisaient du film
au format 127.



Une façade en entrée de château avec les discrètes grilles du portail en aluminium brossé.
Le nom du modèle en lettres gravées gothiques et le numéro en cursive gravé également.
Des repères pour les réglages en élégante forme de pointe de flèche aux côtés incurvés.
Deux très fins petits curseurs plats symétriques pour les réglages.
Formes arrondies du haut de la façade, méplats striés sur le côté pour manoeuvrer l'objectif.
Combinaison de bakélite noir avec liserés métalliques chromés fixés par des rivets apparents chromés aussi.
Compte vue encadré.
Forme complexe du capot de viseur.
Magnifique loquet sculpté avec des graphismes sereins.

Bonjour,

N'y connaissant rien en performances techniques, j'admire surtout le design et c'est du beau celui-là pour moi, superbes finitions...

La plupart de ces appareils sont simples, en majorité une seule vitesse d'ouverture de l'obturateur (temps pendant lequel la lumière pénètre dans l'appareil) (et parfois le mode pose qui laisse l'obturateur ouvert pour les prises de vues au flash ou de nuit) et une seule taille d'ouverture (diamètre du trou par lequel pénètre la lumière). La question des formats de films définit simplement la taille des vues sur le négatif.

J'avoue m'intéresser plus à l'esthétique et aux inventions qu'aux performances.

Le Baby Box de Zeiss Ikon était fabriqué entre 1930 et 1938. Il est tout petit (7 cm de large, 8 de haut) et utilise du film format 127.
Il n'a qu'une vitesse (1/50 ème de seconde environ) et la pose B.



Minuscule boitier, juste fait pour la main. Cuir marqué de deux bandes périphériques devant et derrière. 'BABY BOX' gravé à l'arrière (juste perceptible).
Couronne d'objectif en métal noir gravé des logos de marque et modèle, de forme hexagonale allongée, bordée d'un fin liseré arrondi de cuivre. L'hexagone de cuivre contraste avec la modernité du logo Zeiss Ikon. Face avant légèrement convexe aussi agréable à caresser qu'à regarder.
Très amusante ouverture par tirette trouée, le bouton d'avance reste solidaire de l'avant.
Contraste entre l'arrière du viseur, plaque large, pliée, laquée noir, percée d'un carré, abattante et l'avant, fil fin chromé, rectiligne juste arqué d'une petite poignée, rentrant verticalement dans le boitier. La sortie de l'avant du viseur dispose d'un cran de blocage !
Avance du film par double tige, indication du sens de rotation.

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L'Agfa Karat 6,3 Art déco date de 1937. C'est le premier appareil à utiliser les cartouches de film Karat (vues de 24 mm sur 24 mm). Il est tout petit et pliant (11,5 cm x 4,5 cm x 7 cm). Plutôt élaboré, il avait réglage des distances, ouvertures et vitesses ainsi qu'un blocage contre les doubles expositions. L'armement et l'avance du film sont également couplés, ce qui n'était pas courant. Ce modèle était destiné à l'exportation (distances en pieds).



Lourd et agréable (simplement posé sur la paume de la main) petit appareil en métal gainé de simili cuir.
Le soufflet surgit avec un bruit mat, sa commande est intéressante. La façade rectangulaire est de style Art Déco avec des combinaisons de motifs circulaires et rectilignes entourant le modèle 'Agfa Karat'. Le réglage des distances est surprenant avec le bouton de réglage d'une part et le curseur de lecture de l'autre. Rebord métallique en biseau. Réglage des vitesses sur une échelle linéaire !
La protection contre les doubles expositions a l'air complexe. Biseau sur la tige du déclencheur. Un bouton inconnu (T) sur le capot.
Compte vues par disque métallique rotatif gravé avec commande manuelle par bouton dentelé manoeuvré avec le bout du doigt.
Tous les boutons, ... sont formés de motifs concentriques se réduisant.

Plein de contrastes de formes (cercles, droites), d'opposition entre le corps noir et la façade à dominante chromée, Le Karat 6,3 est doux de formes, attachant par son poids plein de sens et sa taille réduite.

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Ah l'Art déco et le design des objets, quelle rencontre superbe...Il est beau celui-là aussi...

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Ah ça c'est toi qui vois...Je regarde avec intérêt tous ces appareils et visiblement 2392 clics disent la même chose , mais la décision t'appartient ...

Je sais bien, c'est juste que la motivation est liée à l'intérêt. Et puis, il faut bien se poser des questions. Je peux aussi ne mettre que des photos.

Bonjour,
Même si je n'exprime que rarement mon sentiment sur tes photos d'appareils, il n'en n'est pas moins vrai que je passe régulièrement sur ton post. J'en apprécie les descriptions qui ne sont pas qu'une litanie de mots. Les photos sont d'excellentes qualités. Bref, il n'y a rien à jeter. Que les retours soient modestes, je l'admets mais le nombre de membres actifs du forum est limité aussi. Par contre, je suppose que ce site peut intéresser des collectionneurs qui par une recherche Google ou autre, tomberont dessus.
Autrement dit, continue. Mais bon après c'est une question personnelle.

A+lbert

Merci de ton avis. Pour les collectionneurs, il y a des sites et forums spécialisés.

Bonsoir,

j.bratieres a écrit:Pour les collectionneurs, il y a des sites et forums spécialisés.

Je n'en doute pas mais ici, ils trouveront certainement quelque chose de différent et peut la photo avec l'angle de vue qui va bien...

A+lbert