Photographies d'appareils photographiques
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videolf
picasso
Hélène
j.bratieres
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Re: Photographies d'appareils photographiques
Que veux-tu, tout est en plastique (sauf le réflecteur du flash) y compris l'objectif à mon avis.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour,
Je crois qu'on en a tous été là côté qualité, en tout cas les générations ante-numérique, pour notre premier appareil...J'ai oublié le tout premier utilisé, refilé d'ailleurs par mon frère , un Kodack quelque chose, mais mon vrai premier, était un agfa 4000 sensor pocket, cf ... Là ... autrement dit, oubliez la qualité... Voilà au moins un domaine où la progression est certaine...
Je crois qu'on en a tous été là côté qualité, en tout cas les générations ante-numérique, pour notre premier appareil...J'ai oublié le tout premier utilisé, refilé d'ailleurs par mon frère , un Kodack quelque chose, mais mon vrai premier, était un agfa 4000 sensor pocket, cf ... Là ... autrement dit, oubliez la qualité... Voilà au moins un domaine où la progression est certaine...
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Duaflex de Kodak date des années 1947. Il n'y a aucun réglage sauf le mode instantané ou pose.
L'objectif est fixe. Il utilise du film 620.
Son viseur est extraordinairement grand (un lentille carrée de 4cmx4cm) et est tellement lumineux qu'on peut
même l'utiliser à à l'envers comme sur le cliché ci-dessus.
Le déclencheur, situé comme habituellement sur le côté droit de l'appareil ressemble bizarrement à bouton poussoir électrique. Ce Duaflex fonctionne bien, mais le revêtement extérieur en similicuir à l'arrière est complètement boursouflé sans raison apparente. C'est un appareil construit en métal et non en bois comme beaucoup à cette époque.
Sa décoration et les matériaux utilisés lui donnent un aspect très moderne et les légères ondulations des bandeaux de la face avant sont simples et beaux. Enfin, Duaflex est écrit dans une fonte que l'on peut considérer comme très moderne ou datée par ses pleins et déliés.
Re: Photographies d'appareils photographiques
A notre ami J. Bratières, mais pour les autres aussi:
Je ne sais pas si tu connais ce site, mais à toutes fins utiles je le mets ici : http://glangl1.free.fr/
A+lbert
Je ne sais pas si tu connais ce site, mais à toutes fins utiles je le mets ici : http://glangl1.free.fr/
A+lbert
Re: Photographies d'appareils photographiques
Merci bien Albert, je connais un peu. Une de mes sources d'information les plus fréquentes est le site de Sylvain Halgand, mais il y a plus de 6000 appareils (!) et l'orientation est plutôt technique.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Avez-vous reconnu le style ?
Le Perfekta I de VEB RheinMetall (rien que ça déjà !) était fabriqué dans les années 1950 en Allemagne de l'Est.
Malgré la marque il est en Bakélite.
Cet appareil est particulièrement attachant par sa naïveté (bon, c'est subjectif) et semblera à tous familier comme une vieil ami malgré son étrangeté.
Le voici avec le viseur ouvert dans toute sa gloire:
Et un détail des commandes:
en haut le déclencheur (bizarre), le réglage d'ouverture et en bas mode pose ou instantané.
On dirait presque que les boutons sont en ivoire.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Coolpix 2500 de Nikon date de 2003. Malgré un aspect toc avec du plastique métallisé, c'est un appareil plutôt solide. Son objectif inclinable (et retournable) permet de faire des photos sous des angles variés sans changer de vision sur l'affichage. Malheureusement cette possibilité permet très commodément de poser ses empreintes sur l'objectif.
Il fonctionne toujours bien et sert de secours. Certaines touches ont acquis une belle patine légèrement dorée.
Un objet technique amusant avec des retournements, glissières, boutons ronds grands et petits. Son esthétique est plutôt réussie sans clinquant.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Aujourd'hui, pas d'appareil photo pour cause de visite de l'exposition du RMB (Gennevilliers).
Je peux mettre éventuellement quelques clichés de celle-ci.
D'ailleurs, ne n'ai pas vu de rubrique 'expositions' ?
Je peux mettre éventuellement quelques clichés de celle-ci.
D'ailleurs, ne n'ai pas vu de rubrique 'expositions' ?
Dernière édition par j.bratieres le Dim 8 Mai - 19:43, édité 1 fois (Raison : un 'l' oublié)
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonsoir,
Je ne crois pas que le nombre qui peut en être posté justifie une rubrique... Les expos de trains réels peuvent être mis dans reportages, celles de modélisme dans réseaux, celles de photos dans cette rubrique, les autres dans le coin où l'on parle de tout...
Si leur nombre devenait important, il serait toujours temps de penser à les regrouper...
D'ailleurs, ne n'ai pas vu de rubrique 'expositions' ?
Je ne crois pas que le nombre qui peut en être posté justifie une rubrique... Les expos de trains réels peuvent être mis dans reportages, celles de modélisme dans réseaux, celles de photos dans cette rubrique, les autres dans le coin où l'on parle de tout...
Si leur nombre devenait important, il serait toujours temps de penser à les regrouper...
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Comet de la société Zenith (ne pas confondre avec la fabricant soviétique Zénit) était un petit appareil américain populaire vers 1947. Il est en plastique noir. Il est souvent jugé comme mal conçu (certains le déclarent pire que les fabrications soviétiques de l'époque). Il a en tout cas un défaut de base: il ne tient debout tout seul dans aucune position.
Il utilise du film au format 127.
Quelques points d'originalité le distinguent de ses concurrents:
- un objectif rétractable dont la profondeur sortie détermine la mise au point (les concurrents ont des objectifs fixes)
- un double déclencheur, un pour l'instantané, un autre pour la pose
- un déclencheur anti bougé, en effet le mouvement du déclencheur se fait dans l'axe de prise de vue et non perpendiculairement comme habituellement. Un brevet a même été déposé à ce sujet.
- une double ouverture (gris et ensoleillé f11 et f16)
- enfin, le bouton entouré d'une flèche circulaire était un bouton d'armement qui était censé empêcher une double exposition. Ce qui est quand même un peu faux, du fait qu'il suffit de réarmer sans avancer le film pour exposer le même emplacement du film !
Zénith disait dans sa réclame (nous sommes en 1947) : " qu'aucun appareil sans mise au point des distances ne pouvait faire des photos nettes" ! Bien sûr la précision de la mise au point est plus qu'aléatoire car elle se règle sur l'échelle ci-dessous en tirant plus ou moins l'objectif.
Le décor de sa couronne d'objectif, son aspect chétif et malingre, sa tourelle de sous-marin (ci-dessus) et la magnifique boîte orange contrastant avec sa couleur en font un objet attachant et étrange.
Re: Photographies d'appareils photographiques
L'Impérial Reflex 620 (rien que ça!) était construit aux Etats Unis par la compagnie Herbert George.
Cette société était plutôt spécialisée dans les appareils bas de gamme, mais ils avaient une esthétique
toujours originale (voir le Mark 27 d'il y a quelques jours dans ce fil).
Le Reflex 620 n'a aucun réglage, il est tout en plastique. et le verre de visée donne une image floue.
On voit ici le déclencheur à droite (il est métallique !) et la fermeture du boîtier en haut !
Malgré tout cela, la combinaison et la variété des formes et des teintes le rendent beau et le dessin des lettres Imperial en relief est magnifique.
Je n'ai pas trouvé d'informations sur le (les) designer (s) de Herbert George, mais je suis intéressé si quelqu'un en a !
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour,
Très beau graphisme effectivement..;mais je ne peux pas t'aider sur le designer, je suis totalement ignare sur ce monde de la photographie...
Très beau graphisme effectivement..;mais je ne peux pas t'aider sur le designer, je suis totalement ignare sur ce monde de la photographie...
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Rondine de Ferrania est un tout petit appareil italien datant de 1948.
Il n'y a qu'un réglage de distance, le reste est tout automatique (c'est à dire fixe).
Le revêtement en cuir est de mauvaise qualité et a bien mal supporté les années. La plupart
des Rondine ont leur cuir décollé, manquant, éraillé, pâli. Il semble fait dans une sorte
de papier épais! Ce Rondine là souffre en plus de la maladie du verre qui crée dans les lentilles
de minuscules impuretés, les rendant ainsi opaques. Cela ne se soigne pas.
C'est, malgré cela, un objet solide et massif entièrement en métal. Posé à plat sur la main, son
ancrage dans le vrai se perçoit dans la paume. Les fins rebords métalliques mats réhaussent la forme
du Rondine, que celui-ci soit fermé, entrouvert ou complètement ouvert. Ses formes simples et
harmonieusement progressives (6 cm x 7 cm x 8 cm) aux angles effacés aux faces planes sont justes
soulevées de quelques bouillonnements.
Admirez aussi le double viseur: le viseur 'sport' (ici déplié), c'est à dire les deux cadres métalliques et
le viseur 'normal' (c'est à dire, à cette époque, par dessus, à travers un miroir ou plus rarement un prisme).
Le verrou d'ouverture du boîtier est un bouton plat coulissant sculpté dévoilant suivant sa position
les lettres A ou C.
Il existe également des Rondine dont le revêtement est en simili cuir rouge assez élégant.
Re: Photographies d'appareils photographiques
En 1962 Agfa sort l' IsolyMat (souvent écrit JsolyMat à l'allemande).
C'est le haut de gamme de cette série d'appareils bas de gamme: les Isoly.
Les réglages se font par de simples symboles.
L'IsolyMat toutefois dispose d'une cellule et d'un indicateur d'exposition correcte par une languette
avec des témoins vert/rouge. Ici sur deux clichés assemblés.
Aspect étrange de la face avant: rectangle plastique noir au fond, précédé d'un carré métallisé uni, précédé d'un triangle strié mat brillant, précédé de l'objectif rond dont la partie basse de la couronne reçoit le diffuseur de la cellule dont le bas fusionne avec la pointe basse du triangle. Le tout est surmonté d'un viseur haut.
L'ensemble est troublant, vaguement insecte (amplifié par les deux angles hauts du triangle striés (un peu comme des facettes)).
Etonnant mécanisme de réglage avec les languettes vert/rouge!
Etrangeté plaisante.
C'est le haut de gamme de cette série d'appareils bas de gamme: les Isoly.
Les réglages se font par de simples symboles.
L'IsolyMat toutefois dispose d'une cellule et d'un indicateur d'exposition correcte par une languette
avec des témoins vert/rouge. Ici sur deux clichés assemblés.
Aspect étrange de la face avant: rectangle plastique noir au fond, précédé d'un carré métallisé uni, précédé d'un triangle strié mat brillant, précédé de l'objectif rond dont la partie basse de la couronne reçoit le diffuseur de la cellule dont le bas fusionne avec la pointe basse du triangle. Le tout est surmonté d'un viseur haut.
L'ensemble est troublant, vaguement insecte (amplifié par les deux angles hauts du triangle striés (un peu comme des facettes)).
Etonnant mécanisme de réglage avec les languettes vert/rouge!
Etrangeté plaisante.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Un complément sur les Kodak Flashfun d'il y a quelques jours...
Re: Photographies d'appareils photographiques
En 1964 Canon sortit le Canon Demi qui utilise du film 35mm standard, mais fait des clichés 18 x 24mm au
lieu du classique 24 x 36mm. Ceci permettait de faire jusqu'à 72 vues sur un film 36 poses habituel.
Il est doté d'un semi grand-angle fixe de 28 mm, d'une cellule photo électrique couplée à la vitesse qui se règle par
alignement d'une aiguille.
Il n'y a pas de télémètre et le réglage de distance est donc manuel.
Le canon Demi valait 295 Francs en 1964 et était en concurrence avec l'Olympus PEN de même profil.
Esthétiquement, le Demi est d'une finesse extrême par son épaisseur réduite, l'absence de relief de l'objectif, l'encastrement des commandes (déclencheur et armement) et l'arasement de la joue de rembobinage.
Le levier d' armement et d'avance du film est à la fois fort et délicat, souple et rigide de formes, d'un plat absolu.
Enfin, la face inférieure du Demi combine aussi rigueur métallique du cadre entrouvert, ponctuations rondes de l'écrou de pied et du déverrouillage avec un triangle arrondi en cuir obligeant le cadre à une vague fermant partiellement l'ouverture de celui-ci. Ces lignes traduisent-elles l'influence des estampes sur un appareil japonais ?
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour,
Je ne sais pas mais j'aime...
Ces lignes traduisent-elles l'influence des estampes sur un appareil japonais ?
Je ne sais pas mais j'aime...
Re: Photographies d'appareils photographiques
En 1938 Kodak fabriqua le Bantam 4,5. C'est un petit appareil (à peine plus grand qu'un Rollei 35) métallique
avec un soufflet. Il utilisait du film format 828.
Le viseur est également pliant. Un simple bouton suffit à mettre le Bantam en service.
A noter la forme particulière du boîtier dont les côtés sont en biseau.
Les petits boutons ronds des réglages de vitesse et d'ouverture sont minuscules et contribuent à la légéreté du dessin de la façade.
Le déclencheur sur le corps de l'appareil transmet son mouvement par une longue tige chromée faisant levier qui soulève l'obturateur dans la couronne de l'objectif.
La glissière de fermeture du boîtier est aussi gravée en finesse.
Le Bantam 4,5 tient entier dans une main, son grand cadre métallique longitudinal bordé d'ailes en bakélite noire luisantes et biseautées, ses minuscules mécanismes délicats, la régularité de sa face avant avec son métal carré chanfreiné, ses petits curseurs ronds , le disque légèrement cuivré des échelles de mesure et sa microscopique béquille en font un objet de beauté.
Re: Photographies d'appareils photographiques
L'Instamatic 155X est un appareil anglais fabriqué par Kodak à partir de 1971. C'est un Instamatic plutôt bas de gamme: deux vitesses 1/40 ème (nuages) 1/80 ème (soleil et flash), des 'manettes' toutes une simple tôle pliée (déclencheur, ouverture du boîtier), les éléments semblant chromés sont en plastique et la charnière du dos du boîtier est un simple amincissement du plastique dudit dos.
Le Flash cube (rotation automatique !) apporte une touche de bleu assorti aux teintes de l'appareil. La tôle horizontale à gauche est le déclencheur de cet 'Instamatic' (peut-être y avait-il un doute sur cela qui expliquerait les apostrophes autour du nom).
Cette image pose une GRAVE question, COMMENT cet appareil qui ne semble pas contenir de piles arrive t-il à déclencher le flashcube qui ne semble pas NON PLUS en contenir ? (Plus tard: je me réponds à moi même: certains flash cubes appelés MagiCubes étaient déclenchés par choc piézo électrique et ne demandaient donc pas d'alimentation).
Les teintes sont en harmonie et les formes linéaires du boîtier reposantes.
Le levier d'armement, d'une certaine manière.
Dernière édition par j.bratieres le Dim 15 Mai - 11:42, édité 4 fois
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour,
Ah ça, le flash cube... souvenir des tous premiers appareils que j'ai utilisés....
Ah ça, le flash cube... souvenir des tous premiers appareils que j'ai utilisés....
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Bilora Bella 46 est un appareil allemand de 1959. Il utilise du film au format 127, il dispose de deux ouvertures
f8 et f11 , de trois vitesses 1/50 1/100 et flash. Il n'y a aucun automatisme.
La série des différent(e)s Bella comporte des modèles aux couleurs toujours bien assorties ou complémentaires.
Ce modèle existait aussi en cuir beige et métal argenté.
Le déclencheur est astucieusement installé sur l'objectif, là où le doigt n'a pas tendance à le chercher (il y a pire, sur les Dacora Digna, par exemple, il est situé au même endroit, mais avec déclenchement par un mouvement de l'avant vers l'arrière).
Le Bilora Bella 46 a des formes moins nobles que le Bilora Bella 66 précédemment présenté.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Difficile de trouver des renseignements sur le modèle Junior Falcon. Il semble dater des années 1940 et était également vendu sous la marque Spartus. Son fabricant était la Utility Manufacturing Company.
C'est un appareil à soufflet destiné aux adolescents. Il est plus que simple: il n' y a pas de réglages.
Les deux plaques du viseur 'sport' ne sont même pas parallèles. Il n'y a pas de vrai viseur optique.
Sa qualité laisse bien à désirer: l'émail est complètement boursouflé, le métal terni et taché. les glissières d'ouverture du boîtier sont en plastique !
Amusant de constater que l'obturateur est devant la lentille comme le montrent les deux clichés ci-dessous pris en rafale. Le premier montre l'obturateur fermé avec son ressort de commande, le second l'obturateur en cours
de fermeture.
L'esthétique Art Déco de la façade préfigure celle des Kodak Jiffy ou Agfa Billy Clack quelques années plus tard. Les entretoises de déploiement ressemblent à ces anciens dessous de plats extensibles.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Bonjour,
Au point de vue esthétique, encore un beau graphisme effectivement, très Art déco...
Au point de vue esthétique, encore un beau graphisme effectivement, très Art déco...
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Mosquito I de Bauchet date de 1955. Il était en fait fabriqué par Fex (voir Fex Elite il y a quelque temps).
Le boîtier est quasi identique à celui du Fex Ultra. Il est en bakélite noire moulée.
Le Mosquito utilisait du film format 620, il avait deux ouvertures (1 et 2) et deux vitesses (pose et instantané).
Le déclencheur de ce Mosquito ne fonctionne plus.
L'objectif était rentrant et, en position rentrée, verrouillait le déclencheur. On retrouve la superbe couronne bleue autour de la lentille, habituelle chez Fex, pour faire croire que l'objectif est traité.
Les formes du Mosquito sont typiques de leur temps et combinées avec les dimensions et la simplicité des lettres et graphismes donnent une image rassurante.
Le Mosquito II qui lui a succédé avait en plus deux vitesses (1/25 et 1/50) outre la pose et disposait de la synchronisation du flash.
Re: Photographies d'appareils photographiques
Le Rapid A (ou Quick A aux Etats Unis) était commercialisé en 1954 par la fabricant allemand Iloca.
C'est un appareil 24x36 (35mm) simple,classique et solide. Il a des vitesses de 1/25 à 1/200ème de seconde,
une synchronisation flash, une ouverture maximum f3,5 et aucun automatisme.
Sa façade, à la symétrie prononcée, est structurée par les trois bandes métalliques originales bordant le
haut du boîtier; le bloc métallique du capot supérieur reçoit les boutons avec sensibilité et compte-vues
à ses extrémités et l'écriture gravée stylée des noms de marque et de modèle.
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